C’est sans doute l’un des thèmes les plus connus du répertoire. Il frappe pourtant par sa fragilité : toutes les phrases sont brèves, entrecoupées de silences, et ne sont jouées que par les cordes seules.
Les vents entrent pour conclure cette première partie et amener une reprise de la première idée avec de longues notes tenues des vents…
Après un tutti optimiste, une mesure de silence annonce la deuxième section : un dialogue entre les bois solistes et les cordes autour de deux idées. Mozart les rassemble avant de faire réapparaître le premier motif du morceau dans un dialogue entre la clarinette et le basson.
Ah, Mozart me tient en haleine !