Fauré touche au sublime avec ce Pie Jesu d’une simplicité déconcertante : une mélodie très pure, chantée par la soprano et accompagnée à l’orgue.
L’orchestre lui fait un écho mélodique, mêlant bois doux, harpe et cordes soyeuses.
À la reprise, Fauré fait dialoguer la soprano et l’orchestre à la manière de la liturgie catholique.
Tu entends ce calme ? Ni cris, ni larmes, avec ce Requiem apaisé, Fauré témoigne d’une vision lumineuse de la mort.
Quelle sérénité, ce Fauré !
Révélation ! Enfin comprendre la musique...
11 octobre